Parc Bellerive, entre Notre Dame et le chemin de fer, à l'ouest d'Iberville
Drapeau de l'Italie

Italie

Samedi 3 juillet 2004

Vincent Finnerty

Geneviève Lauzier

Parc Bellerive, entre Notre Dame et le chemin de fer, à l'ouest d'Iberville

 
Sommaire
Ambiance
2/5
Musica
3,5/5
Performance technique
4,4/5
Finale
4/5
Appréciation générale
4/5
Feu préféré (Geneviève) : Pour le romantisme, une pluie de grosses étoiles filantes blanches qui vient si près que, de là où on est, on a l'impression qu'elle va nous tomber dessus... heureusement, on est bien à l'abri sous un arbre (première photo).
Feu préféré (Vincent) : Pour la technique, un ensemble de petits serpents s'éloignant dans toutes les directions, puis deux disques de projectiles blanc approximativement parallèles (deuxième photo).
Une pluie de grosses étoiles filantes blanches
Un ensemble de petits serpents s'éloignant dans toutes les directions
Arbre cachant certains feux, ajoutant un peu de romantisme

Ambiance : Après avoir tenté de nous rendre sur la rive sud en bicyclette (il semble que le pont Jacques-Cartier soit fermé même au vélo à partir de 20 h 30), nous nous sommes retrouvés dans un parc de la rue Notre-Dame parmi une foule hétéroclite... Des petites familles, des groupes d'adolescents et des couples de retraités. L'ambiance avant les feux était très familiale. On essaie même de vous vendre quelques bidules lumineux pour passer le temps!?! Pendant les feux à certains moments on aurait pu se croire dans un spectacle de Britney Spears, de jeunes adolescentes criaient et sifflaient au premier pétard venu (on parle des feux, bien entendu). En prime, le site offre un spectacle en odorama : égouts et cannabis!

Musique : La musique était majoritairement classique et plutôt rythmée. Selon les animateurs, elle se voulait être un hommage à Rome. On nous a dit que certaines pièces provenaient de la bande sonore du film Gladiator... soit! Mais nos esprits, peut-être trop simples, ont entendu plus de western que de romain... En général, la synchronisation était juste pour les feux au sol ainsi que pour les plus élevés.

Performance technique : La forme des feux était variée et il y avait de belles combinaisons, il y avait une grande majorité de blancs et de dorés. Y a-t-il un lien avec Rome? avec le Vatican? Qui sait! L'intensité était bien répartie sur toute la durée du spectacle et il n'y a eu pratiquement aucun temps mort.

Finale : Les dernières minutes ont été très explosives. La quantité faramineuse de pétards a causé tellement de fumée qu'il devenait difficile de distinguer la forme individuelle des feux. La finale était si lumineuse et spectaculaire que l'on pouvait voir le pont Jacques-Cartier comme en plein jour. À la toute fin, des dizaines de feux ont éclaté simultanément ce qui a causé un gros BOUM en lettres majuscules et en caractères gras.

Appréciation générale : Au tout début du spectacle, nous avons remarqué qu'un lampadaire (présent sur les deux dernières photos) pourrait potentiellement nous embêter. De plus, un arbre bloquait une grande partie de notre champ de vision. En fin de compte, le lampadaire est passé inaperçu et l'arbre, bien qu'il cachait certains feux plus élevés, ajoutait un peu de romantisme aux images (voir photos du haut et du bas).

Nous recommandons ce site car il directement en face de la rive où sont situés les pétards, il permet de bien voir les feux les plus bas et la densité de gens est plus que raisonnable.

 

Italie, samedi 3 juillet 2004

Création : 7 juillet 2004
Villeray
N 45° 33′ W 73° 36′

Italie, samedi 3 juillet 2004

Dernière mise à jour : 7 juillet 2004,
Villeray,
N 45° 33′ W 73° 36′