Re: syndicats, Etat et vente d'alcool

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En fait, la boisson à haute teneur en alcool en ontario est beaucoup moins
chère. Il serait probablement plus pertinant de comparer les prix entre le
Québec et l'Ontario. Il est aussi à noter qu'au Québec, la régulation sur
la vente de boisson est en relation directe avec le pourcentage d'alcool de
la boisson vendue. Le monopole étatiste n'est que sur les boisson ayant
une teneur en alcool de 17 ou 19% si je ne m'abuse (c'est pour ca qu'on
retrouve bières et vin en dépanneur, et non des alcools forts). Donc si
chez Maurice voulais bien tenir du Dom Perignon en stock, on pourrais
probablement l'acheter chez Maurice...

Pour ma part, je ne comprend toujours pas pourquoi le gouvernement
Québecois ne régularises pas les salaires des employés des entreprises
gouvernementales en fonction d'études salariales de marchés en selon les
types d'emploi. Bon, je sais que c'est peut-être plus facile pour les
entreprises privées, mais dans le cas d'IBM, les braquettes de salaires
sont définies par des études de marchées conduites par des groupes a
l'interne, et ce à tout les deux ans. Ces études incluent salaires de
base, avantages sociaux, paye de temps supplémentaire, prime de
télé-avertisseur, bonus, etc. À partir des matrices receuillies, la
pratique d'IBM est de prendre la braquette supérieure et d'y ajouter 5 a
10% pour s'assurer de la rétention de ses employés.

Si la même pratique était appliquée dans le cas des entreprises d'état, il
y aurait probablement (lire évidemment) un écart moins marqué des salaires
entre le secteur privé et le publique. Je ne vois pas ce qu'il y aurait de
mal à prendre la moyenne salariale des études de marché et y ajouter un
10-15% pour s'assurer de la rétention des employés.


--
Sébastien Bérubé
(514) 964-1828
berube(à)ca.ibm.com
 

 

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