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Billet winnipégois: musique québécoise disponible au HMV

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Je cherchais un album de Karkwa pour offrir en cadeau à une collègue Winnipégoise. Je me rends au HMV près de mon travail avec l'espoir d'y trouver Le volume du vent. Déception, ils n'ont pas d'album de ce groupe en magasin, le caissier ignorait aussi qui était ce groupe.

Cependant, il m'a désigné une section de musique Québécoise, située dans l'étagère consacrée à la musique du monde.

C'est toujours intéressant de voir comment, ou par quoi, le monde extérieur nous perçoit. Voici donc la liste des CD de musique québécoise tels que sélectionnés par le HMV de Winnipeg:

  • Isabelle Boulay
  • Xavier Caféïne (celui avec le plus d'albums)
  • Coeur de pirate
  • Catherine Major
  • Daniel Lavoie (techniquement, il est Manitobain)
  • Jean Leloup
  • Garou
  • Malajube
  • Les trois accords
  • Roch Voisine (Mise à jour: Roch est né au Nouveau-Brunswick)

Quoi qu'on pense de la sélection, et de son emplacement, c'est quand même bien qu'une telle section existe. Je serais curieux de savoir s'il existe une section pour la musique des autres provinces canadiennes au HMV à Montréal. Et si elle se trouve dans la section «musique du monde».

De Miami à Québec: Lévis, Qc

Vu d’une entrée de tente avec une roue arrière de vélo, du gazon et une canette de boisson énergétique

De Miami à Québec est une série de 10 courriels écrits par Lino Tremblay lors de son périple en vélo entre ces 2 villes. Vous pouvez consulter la série complète des billets.

Lévis, Qc est le dixième billet de la série.

Date: Mardi 6 mai 2009 21:28:20 -0400
Sujet: Montréal, Qc

Bonsoir tous,

Après 24 jours (25 en comptant le jour où je me suis rendu à Miami), je vais dormir dans mon lit à moi ce soir. Ça va me faire le plus grand bien car la traversée de la Nouvelle-Angleterre m'a laissé les jambes un peu raides (quoique une petite centaine de kilomètres me dérouilleraient aussi). Je compte me reposer demain aussi. Après-demain, si le temps le permet, je vais aller faire du vélo de route, histoire de me rappeler comment c'est de rouler "à lège" après avoir transporté 50 livres de matériel pendant un moment.

J'avais parlé de statistiques, les voici:
- 3417 km et 144 heures de vélo.
- Vitesse moyenne: 23,7 km/h (je m'attendais plus à 20-21, à cause de mes expériences passées);
- 15 états visités:
1- Floride
2- Géorgie
3- Caroline du Sud
4- Caroline du Nord
5- Virginie
6- Maryland
7- Delaware
8- New Jersey
9- New York
10- Connecticut
11- Rhode Island
12- Massachusetts
13- New Hampshire
14- Maine
15- Vermont
- Environ 100 000 calories brûlées, soit 185 Big Mac ou 650 bières ou 330 beignes (ou préférablement, un savant mélange de tout ça).
- Sur 144 heures, je dirais que j'ai eu moins de 10 heures de pluie et un bon 40 heures avec un vent favorable assez fort.
- 7000-8000 mg de caféine consommés.
- Et j'ose même pas imaginer combien de litres de Gatorade/Powerade, je suis au bord de l'overdose ("toute sauf de l'esti de Gatorade!", c'était dans quel film?).

Pour ce qui est des effets sur mon corps:
- Je suis plus bronzé, mais pas égal, comme il fallait s'y attendre.
- Au départ, je pesais 143-145 livres. Ce matin, mon poids était de 136,5 livres. Je devais avoir 17 ans la dernière fois que j'ai pesé ça.
- J'ai des raideurs dans les épaules et les bras, car l'ergonomie de mon vélo n'est pas au point. J'ai bien essayé de l'améliorer sur la route, mais il aurait fallu changer des pièces. Or, il s'avère que trouver une potence de 60 mm est encore plus ardu que trouver un "26 inches slick folding tyre" quand on ne connaît pas les magasins du coin et qu'on ne veut pas faire la tournée (ça gaspille du temps et des kilomètres!). Je vais m'occuper de ça maintenant.
- J'ai le tendon d'Achille gauche enflé. Ça a commencé à peu près au dixième jour du voyage, avec un pic à New York. Heureusement, j'ai trouvé la cause et la solution. J'utilise des pédales à clip. Pour "déclipper" (détacher la chaussure de la pédale), il faut tourner le pied vers l'extérieur. Ça m'a pris une bonne semaine pour faire le lien, mais j'ai fini par me rendre compte que je déclippais toujours du même côté. Quand on roule sans arrêt, ça peut aller, mais en ville, le mouvement répétitif produit son effet. J'ai donc commencé à déclipper à droite, mais comme je ne suis pas habitué à repartir de ce pied, j'ai eu quelques ratées, si bien que j'ai maintenant mon beau plateau neuf tatoué dans le mollet.
- Et puis bon, ça se pourrait que je sois plus en forme.

C'était le dernier épisode de cette série. Il se pourrait qu'il y en ait une deuxième (départ pour Vancouver prévu autour du 24 mai 2009), mais rien n'est certain pour l'instant. Plus de détails à venir, s'il y a lieu.

Bonne nuit et merci de me lire!

L.

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Fait ça facile (Do Easy)

Que ce soit pour prendre le thé ou gagner un duel, il y a toujours moyen de faire ça facile. En collaboration avec Gus Van Sant et William Burroughs.

Billet manitobain: être partout chez soi

Tommy la tortue de BoissevainTommy, la tortue géante de Boissevain

Je suis loin de Villeray depuis maintenant 20 jours. Pourtant, je ne me sens pas dépaysé. Certes, être au Canada joue pour beaucoup, si j'étais au Botswana par exemple, le dépaysement serait certainement plus grand. Cependant, je crois que si je ne me sens pas trop loin de chez moi, c'est en bonne partie parce que mes activités informatiques ne se sont jamais interrompues.

Mes données essentielles sont hébergées à 3 endroits: sur l'ordinateur chez moi, sur mon serveur personnel quelque part en Allemagne, et sur ptaff.ca. Les mêmes logiciels et configurations se retrouvent aussi sur ces 3 serveurs (merci GNU/Linux).

Grâce à la magie d'internet, ces serveurs sont accessibles en tout temps et de partout (quoique l'ordinateur chez moi demeure vulnérable aux pannes de courant). Essayez de visiter ptaff.ca lors de votre prochain séjour au Botswana et vous verrez, ça marche!

Tant que j'ai accès à un ordinateur quelconque et à internet, je peux continuer les activités entreprises chez moi.

Bien sûr, tous n'ont pas les connaissances nécessaires pour faire fonctionner cette mécanique. C'est pourquoi ce sera sous une autre forme mais, à long terme, cette façon de faire deviendra la norme. Les avantages en sont trop grands. On ne dépend plus d'un ordinateur unique, celui qui est à la maison pour la plupart d'entre nous, pour avoir accès à notre extension informatique. Nos logiciels et données sont toujours disponibles quelque part en ligne. Tout ce dont on a besoin, c'est d'un ordinateur lambda et d'une connexion internet. Notre créativité peut alors s'exprimer à partir de n'importe où.

D'ailleurs ce soir, je rédige ce billet au chic Canadian Wilderness Inn de Boissevain, et informatiquement parlant, je suis chez moi.

Billet winnipégois: Rencontre de Noël russo-tunisienne

Autobus de Winnipeg avec des lumières de Noël

Hier soir dans l'autobus, dès que nous nous sommes assis, un ti-gars de 6-7 ans nous reconnut en tant que francophones, il a ce don il paraît, et nous a désigné en tant que tels à la dame qui l'accompagnait.

Nous engageâmes la discussion, en français, pour apprendre que cette dite dame est Russe d'origine et qu'elle a émigré à Winnipeg à partir de… la Tunisie. Le ti-gars avec qui elle était (son fils?) avec le teint visiblement tunisien, nous a raconté qu'ils revenaient du défilé du Père Noël au centre-ville.

Elle nous a donné des cannes de Noël offertes par le Père Noël lui-même, un faux Père Noël aux dires du ti-gars, le vrai étant dans le ciel. La fée des étoiles était absente au défilé. Ils ignoraient même tout de son existence (une recherche sur le web m'amène à penser que son existence aux côtés du Père Noël est un fait typiquement québécois), mais la plus belle femme du Manitoba y était (Miss Manitoba je crois).

On a aussi discuté de l'unique restaurant tunisien de Winnipeg, et des étoiles se sont allumées dans les yeux du ti-gars. Il a dit que ça goûtait pareil comme en Tunisie. Informations prisent, il s'agit d'un restaurant plutôt moyen, les propriétaires étant des Tunisiens d'origines n'ayant aucune formation dans ce domaine mais, en hommes d'affaires avisés, ils ont identifié une niche à combler dans ce domaine à Winnipeg. Ils ont par la suite appris leur art directement à Winnipeg. On peut comprendre que le goût des mets de leur terre natale s'y retrouve plus ou moins.

La Russo-tunisienne-winnipégoise nous a raconté que, lorsqu'elle a vu pour la première fois des légumes à Winnipeg, elle était très impressionnée par leur allure, combien ils étaient beaux. Mais, une fois en main, ils ne sentent rien, ils n'ont pas de goût.

Elle nous a aussi dit qu'en débarquant au Manitoba, elle a vu la devise Friendly Manitoba sur toutes les plaques de voitures et qu'elle était très très contente de voir ça, parce que c'est important pour les immigrants de savoir ça.

Tout ça en 20 minutes d'autobus. C'est effectivement très amical, le Manitoba. Je m'en rends compte à chacune de mes visites.

De Miami à Québec: Montréal, QC

Vu d’une entrée de tente avec une roue arrière de vélo, du gazon et une canette de boisson énergétique

De Miami à Québec est une série de 10 courriels écrits par Lino Tremblay lors de son périple en vélo entre ces 2 villes. Vous pouvez consulter la série complète des billets.

Montréal, QC est le neuvième billet de la série.

Date: Mardi 5 mai 2009 20:29:32 -0400
Sujet: Montréal, Qc

Bonjour tous,

Ce matin, je suis passé sur Jay Peak, qui a été ma plus grande montée et ma plus grande descente. C'était le matin, alors je suis monté lentement, i.e. 8-9 km/h. Ç'a été tellement long arriver en haut que j'ai eu le temps de manger cinq biscuits maison (achetés la veille dans un dépanneur).

Mis à part le paysage, le Vermont profond fait vraiment dur. Pendant longtemps, j'ai eu l'impression de rouler dans un chemin du Lac à Poche/St-Gabriel/La Durantaye de 150 km. J'imagine que le reste de l'état est plus beau.

Après avoir visité mon dernier dépanneur américain (en calculant 4-5 dépanneurs par jours tous les jours que j'ai roulé, j'ai dû en faire pas loin d'une centaine) à Richford, j'ai traversé la frontière. Contrairement à hier, j'ai eu la chance d'avoir le vent avec moi une bonne partie de la journée, ce qui fait que les 183 km d'aujourd'hui ont été faciles. J'ai même eu droit à la traversée du vieux Longueuil, quel bonheur.

Je reviendrai peut-être là-dessus un jour, mais je déteste les ponts, tous les ponts. Le pont Jacques-Cartier ne fait pas exception. Histoire de me défouler un peu, je suis arrêté en plein milieu du pont pour soulager ma vessie dans les bouillons du St-Laurent. Je suis finalement arrivé à destination (chez mon frère) vers 5h. C'était le temps car mon vélo commençait à faire divers bruits indésirables (je parle du vélo, pas de moi, là, hein).

Passons maintenant aux accotements et à la ligne blanche. Je suis content de ne pas avoir parlé des accotements avant aujourd'hui, car cet après-midi, je me suis rendu compte que le Québec en arrache d'aplomb de ce côté. De grands bouts de la supposée Route verte sont remplis de sable, de roches et de craques. Le pire tronçon que j'ai jamais vu est celui entre St-Siméon et Baie-Ste-Catherine. Je vous entends me répondre "oui, mais au Québec, il y a l'hiver…". J'ai vu de la neige dans le New Hampshire pas plus tard qu'hier, et pourtant, ils ont des accotements merveilleux. Inversement, les routes du sud du Rhode Island sont remplies de sable qu'on sait pas d'où il vient.

Un accotement digne de ce nom est propre, assez large (au moins deux pieds) et asphalté en même temps que le reste. Une chose qui se fait beaucoup au Québec lorsque les routes sont renovées est de mettre de l'asphalte neuve uniquement sur la partie utilisée par les autos: ça coûte moins cher (sûrement que le maire d'une certaine capitale nationale s'est inspiré de cette idée quand il a décidé de déneiger juste un côté des rues de sa ville).

Parfois, il y a des "rumble strips", ces espèces de trous qui vous réveillent lorsque vous êtes en train de prendre le champ, et un pied d'accotement a côté. Il n'y a rien de pire que ça, car si on roule sur l'accotement, on est obligé de passer dans ces trous pour éviter les déchets et autres obstacles. C'est donc plus confortable de rouler de l'autre côté des trous - dans le chemin, oui -, ce qui nous amène à la ligne blanche.

Rouler sur une belle ligne blanche permet de gagner 1-2 km/h sans fournir d'effort supplémentaire, surtout lorsque l'asphalte est rugueuse. Étrangement, beaucoup de cyclistes semblent l'ignorer. Dans le sud de la Georgie, ils ont trouvé un moyen d'économiser la peinture et d'éviter de faire des "rumble strips": ils font une ligne pointillée, comme un tie-wrap. Je trouve le compromis intéressant.

Bref, si jamais vous voyez un cycliste sur (ou à gauche de) la ligne alors qu'il y a un accotement potable, c'est parce qu'il a calculé que le gain en efficacité et/ou en confort était plus grand que le danger de rouler près des voitures. Ne le klaxonnez donc pas (on ne klaxonne JAMAIS un cycliste). Si vous considèrez que son comportement est dangereux (ce qui peut bien arriver), arrêtez pour le lui expliquer. J'ai trouvé le gars qui m'a escorté jusqu'à une route moins dangereuse (en entrant à Boston) beaucoup plus brillant que l'autre qui m'a klaxonné en me
pointant du doigt un accotement surélevé rempli de cochonneries.

Je concluerai demain avec quelques statistiques.

L.

P.S. Désolé d'avoir été si long, et merci de m'avoir lu jusqu'au bout, si jamais c'est le cas!

Pièces jointes:

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De l'efficacité des pneus gonflés à l'azote

Pneu à plat

Gonfler ses pneus avec de l'azote au lieu d'air est, selon toute vraisemblance, une dépense d'argent inutile. Voici pourquoi.

L'air est composé à 78% d'azote, 21% d'oxygène et 1% d'autres gaz. Pour un pneu d'automobile, 2 différences pourraient favoriser l'azote par rapport à l'air:
1- L'absence d'oxygène;
2- L'absence de vapeur d'eau.

Analysons l'influence de ces 2 facteurs.

1- Absence d'oxygène dans les pneus

L'oxydation

L'oxygène dégrade les matières avec lesquelles il est en contact: c'est l'oxydation. Pour les véhicules qui conservent les mêmes pneus pendant un grand nombre d'années, l'oxydation peut être importante. L'argument de vente utilisé mettant l'emphase sur cette propriété est l'identification de l'azote comme un gaz inerte, puisqu'il ne cause pas d'oxydation.

C'est surtout pour les camions qui ont des pneus gigantesques que cela a de l'importance. En effet, leurs pneus sont traités plusieurs fois, de nouvelles rainures sont creusées, augmentant ainsi leur durée de vie. Dans le cas des pneus d'automobiles, cela a très peu d'importance, ils ont une durée de vie trop courte.

Sources:
* http://home.comcast.net/~prestondrake/N2_FAQ_Q08.htm
* http://home.comcast.net/~prestondrake/N2_FAQ_Q06.htm

La dimension des molécules

La molécule d'azote, le diazote, est plus grosse que celle de l'oxygène, le dioxygène. Les molécules de dioxygène passent à travers le pneu plus rapidement que celles du diazote. Ce phénomène est appelé diffusion.

Cependant, la diffusion n'est pas une source importante de perte d'air dans un pneu. Une différence dans la vitesse de celle-ci, fut-elle réduite à zéro, ne représentera qu'un gain marginal.

Source: http://blogs.consumerreports.org/cars/2007/10/tires-nitrogen-.html

L'oxygène, nourriture du feu

Dans un milieu sans oxygène, il ne peut y avoir de feu. Un avion s'est déjà écrasé suite à l'éclatement d'un pneu en vol. En effet, le pneu de l'avion étant remplie d'air, et non d'azote, l'oxygène présent dans ce pneu a nourrie un incendie s'étant déclaré à ce moment, ce qui causa la perte de l'aéronef. Triste histoire.

Si vous prévoyez voyager dans un milieu pauvre ou sans oxygène, la haute troposphère par exemple, les pneus gonflés à l'azote réduiront de beaucoup les risques d'incendie. Pour les automobiles à la surface de la Terre, cette raison semble un peu futile.

Source: http://www.straightdope.com/columns/read/2694/is-it-better-to-fill-your-tires-with-nitrogen-instead-of-air

2- Absence de vapeur d'eau dans les pneus

La rouille

La vapeur d'eau, présente dans un pneu rempli d'air, cause de la rouille sur la jante.

Plusieurs automobiles ont maintenant des jantes en alliage inoxydable. Donc pas de rouille. La jante peut aussi rouiller de l'extérieur, l'absence d'eau dans le pneu n'est donc pas un facteur prévoyant toute corrosion. D'autre part, la présence de rouille serait un facteur rarement évoquée pour justifier le changement de celle-ci.

Source: http://www.straightdope.com/columns/read/2694/is-it-better-to-fill-your-tires-with-nitrogen-instead-of-air

La variation de pression de la vapeur d'eau

La pression de l'air sec varie moins en fonction de la température que celle de l'air contenant de la vapeur d'eau. Comme la vapeur d'eau est retirée lors du processus purifiant l'azote, un pneu gonflé à l'azote bénéficie de cet avantage.

Certes, mais de façon imperceptible à de basse température; dans l'air, la vapeur d'eau se condense et l'air devient sec, tout comme l'azote. Par contre, pour des températures de l'ordre de 100°C, la différence peut être importante. C'est pourquoi les voitures de courses ont des pneus gonflés à l'azote. À moins donc de faire de la course automobile, les températures des pneus n'atteignent pas les valeurs où la vapeur d'eau fait une différence par rapport à l'air sec.

Source: http://home.comcast.net/~prestondrake/N2_FAQ_Q01.htm

Conclusions

Il existe plusieurs sites web, surtout en anglais, qui portent sur l'efficacité des pneus gonflés à l'azote. Avec quelques variantes sur les arguments, la grande majorité en arrivent aux mêmes conclusions:
1- Peu importe avec quoi le pneu est gonflé, il faut vérifier la pression des pneus à chaque mois;
2- Pour un véhicule standard, gonfler ses pneus à l'azote au lieu de l'air a un effet négligeable. Si c'est gratuit, allez-y, sinon gardez vos sous pour vous acheter des douceurs.

Notes:
* La meilleure référence que j'ai consultée pour l'efficacité des pneus gonflés à l'azote est celle de Mitchell P. Patrie.
* Curieusement, CAA-Québec en arrive à des conclusions différentes que celles de ptaff.ca.

Une femme qui sait parler

Un peu de slam geek pour commencer la semaine: