Efflorescence algale dans le lac Ontario
L'image du jour du satellite MODIS, pour ajourd'hui, montre l'efflorescence algale du lac Ontario.
L'image est disponible en résolution 1 km par pixel (affichée ici), 500 m/pixel ou 250 m/pixel.
Les homosexuels et le royaume de Dieu
Ce billet est le deuxième volet du tryptique portant sur le nouveau testament. Premier volet, troisième volet.
On comprendra que, lorsque j'ai consulté la table des matières, intitulée Secours en temps de besoin, au début du nouveau testament, mon choix se soit d'abord porté sur la section « Quand on est incité à la DÉBAUCHE ».
Je recopie ici le premier extrait qu'il est recommandé de lire dans ce cas-là.
1 Corinthiens 6:9,10
9 Ne savez vous pas que les injustes n'hériteront point le royaume de Dieu ?
Exhortations à fuir la débauche
Ne vous y trompez pas: ni les débauchés, ni les idolâtres, ni les adultères,
10 ni les efféminés, ni les homosexuels, ni les voleurs, ni les cupides, ni les ivrognes, ni les outrageux, ni les ravisseurs, n'hériteront le royaume de Dieu.
Bruno B étant sceptique quand à l'utilisation du terme homosexuels dans le nouveau testament, il est allé chercher sa bible à lui, celle qu'il avait reçue au secondaire.
Ma bible m'a été généreusement offerte par l'Association internationale des Gédéons, qui est composée d'hommes d'affaires chrétiens. Je n'ai pas trouvé de date de publication. Celle de Bruno B provient de la Société Biblique Canadienne et a été éditée en 1986.
Examinons les nuances qu'il y a entre les 2 éditions pour ce passage des Corinthiens.
1 Corinthiens 6:9,10 (Bible à Bruno B)
9 Vous savez sûrement que ceux qui font le mal n'auront pas de place dans le Royaume de Dieu. Ne vous y trompez pas: les gens immoraux, adorateurs d'idoles, adultères, pédérastes, 10 voleurs, envieux, ivrognes, calomniateurs ou malhonnêtes, n'auront pas de place dans le Royaume de Dieu.
Il y a plusieurs différences entres les noms communs utilisés dans chacune des éditions. Attardons-nous sur ce qui avait fait sourciller notre Bruno B:
Dans ma bible:efféminés et homosexuels.
Dans celle de Bruno B: pédérastes.
Quelle différence y a-t-il entre un pédéraste et un homosexuel? Je retranscris ici les définitions de mon Petit Larousse Illustré 1996.
PÉDÉRASTE n.m. (gr. paiderastês, de pais, paidos, enfant, et erastês, amoureux). Celui qui s'adonne à la pédérastie.
PÉDÉRASTIE n.f. 1. Attirance sexuelle d'un homme adulte pour les jeunes garçons; relation physique fondée sur cette attirance. 2. Plus cour. Homosexualité masculine.
HOMOSEXUEL, ELLE adj. et n. Qui éprouve une attirance sexuelle pour les personnes de son sexe, par opp. à hétérosexuel. Abrév. (fam.): homo.
Dans la bible à Bruno B, on fait référence au terme pédéraste, qui peut être associé soit à un pédophile ou à un homosexuel, tout dépendant de la définition choisie. On pourrait penser que les anciens faisaient références aux pédophiles, et que c'est à eux que sera refusé le royaume de Dieu.
Tandis que dans mon nouveau testament à moi, non seulement les homosexuels se verront refuser le royaume de Dieu, mais également les efféminés.
Appréciez comment une traduction, ou une édition, différente, peut faire toute la différence du monde, et même dans celui d'après!
Si vous voulez du poulet pour déjeuner
Déjà qu'il faut être d'une humeur assez spéciale pour déjeuner au McDo, si en plus il faut manger du poulet…
Via ElevanColor.
Crépuscule sur Villeray
Après toutes ces émotions, il est grand temps de prendre un peu de recul.
Rien de tel qu'un décalage chromatique vers le violet dans le ciel de son quartier favori. Surtout que ça faisait des mois que l'on attendait que le soleil passe à travers le petit trou sous le clocher de l'église.
En collaboration avec Bruno B.
HDLC dans le National Post
Marianne White de canwest a publié un article, dans le National Post cette fois-ci (également disponible sur canada.com), à propos du billet de ce blogue où l'on peut télécharger le rapport de Santé Canada sur les changements climatiques.
Mise à jour: il semble que l'article n'est pas dans la version papier du journal.
Mise à jour 2: Le même article, dans l'Ottawa Citizen.
HDLC dans Le Devoir
Fabien Deglise publie un article dans Le Devoir de ce matin qui parle du billet de ce blogue où l'on peut télécharger le rapport de Santé Canada sur les Changements climatiques.
Mise à jour: Jason Prince m'a fait parvenir la version anglaise du rapport que j'ai ajoutée sur le billet en question.
Pourquoi les Italiens de Montréal parlent-ils anglais?
C'est vrai ça. Pourquoi les Italiens de Montréal parlent-ils anglais? Parce qu'à bien y penser, ils sont catholiques, les quartiers où ils ont d'abord émigré étaient dans la partie francophone de Montréal (Petite Italie et Saint-Léonard) et, linguistiquement parlant, l'italien est plus proche du français que de l'anglais.
En cherchant la réponse à cette question, je me suis rendu compte qu'une bonne partie de l'histoire qui répond à cette question illustre bien l'histoire du Québec du XXe siècle. Une réponse en trois partie:
1. Première vague d'immigration italienne
2- Deuxième vague italienne: l'après-guerre
3- De la loi 63, à loi 22, à la loi 101
Les extraits proviennent des 2 livres intitulés « Histoire du Québec contemporain ». Les références complètes sont dans la section Références à la fin du billet. J'indique de quelles pages sont tirées les extraits au début de chacune des trois sections.
1. Première vague d'immigration italienne
Tome I: pp. 60-61
Le Québec ne compte que peu d'Italiens au 19e siècle. Il s'agit surtout d'hommes d'affaires ou d'artisans statuaires trouvant un bon marché pour leurs produits dans les églises et les institutions religieuses. Ce noyau initial donnera à la communauté ses premiers notables. Vers la fin du siècle, toutefois, s'amorce un changement important avec le début d'immigration de masse. C'est l'époque où les Italiens, tout en continuant à fournir une abondante main-d'oeuvre à l'Europe du Nord, commencent à prendre la route des Amériques et de l'Océanie. Ceux qui viennent au Québec ne représentent qu'une mince partie de ce vaste mouvement migratoire, qui amène des millions d'Italiens, surtout en provenance du Sud, à fuir la mise qui règne dans leur pays.
Le flux migratoire vers le Québec est amorcé par des agents d'emploi fournissant aux grandes compagnies de chemins de fer les milliers de manoeuvres dont elles sont besoin en cette période d'intense construction. Eux-mêmes originaires d'Italie, ils y recrutent des paysans espérant accumuler le capital nécessaire à l'achat d'une terre et qui voient leur migration comme temporaire. Ces agents d'emploi, les padroni, exploitent de multiples façons une main-d'oeuvre connaissant mal les conditions prévalant dans le pays d'accueil. Le plus célèbre est Antonio Cordasco, que ses hommes consacrent roi des travailleurs italiens de Montréal en 1904. Ses agissements provoquent d'ailleurs, la même année, la mise sur pied d'une commission d'enquête par le gouvernement fédéral.
Avec les années, au fur et à mesure que les effectifs de la communauté italienne augmentent, le monopole des padroni s'effrite. La migration s'organise de plus en plus dans le cadre de réseaux familiaux, ceux qui sont déjà installés à Montréal faisant venir leurs parents et leurs amis et les prenant en charge à leur arrivée. On assiste ainsi, comme le souligne l'historien Bruno Ramiez, au passage de la migration temporaire à l'installation permanente. En témoigne la création successive par l'Église catholique, en 1905 et 1910, de deux paroisses nationales pour les Italiens. La population d'origine italienne de Montréal atteint déjà 7000 en 1911 et plus de 20 000 en 1931. Elle vient principalement de deux régions du sud de l'Italie, le Molise et la Campanie. La majorité des nouveaux venus sont des travailleurs agricoles sans qualifications professionnelles; au Québec, ils occupent surtout des emplois de manoeuvres dans la construction. Au début, la migration est essentiellement masculine. Les nouveaux venus qui choisissent de s'installer font ensuite venir leur épouse ou leur fiancée. Mais avec le temps, comme le montre l'historienne Sylvie Taschereau, une proportion croissante d'immigrants épousent des jeunes filles d'origine italienne nées ou élevées au Québec. Ainsi se complète la transition d'une communauté immigrante à une communauté ethnique. En effet, même si les Italiens ont, dans leurs principaux lieux d'implantation, des institutions qui leur sont propres, églises, épiceries, cafés, ils s'insèrent dans la société ambiante et, d'Italiens, deviennent des Québécois d'origine italienne. Ils constituent le deuxième groupe en importance, après les Juifs, qui ne soit pas d'origine française ou britannique.
À la fin de cette période, Mussolini, au pouvoir en Italie depuis 1922, cherche à étendre son emprise sur la diaspora. Une partie de la communauté s'identifie au fascisme, ce qui est source de tensions et de divisions et entrainera l'internement d'un certain nombre de personnes pendant la Deuxième Guerre mondiale.
2- Deuxième vague d'immigration italienne: l'après-guerre
Tome II, pp. 221-222
Les pays d'origine de ces nouveaux Québécois sont beaucoup plus variés qu'avant la guerre, alors que 40% de tous les immigrants venaient des Îles britanniques; cette proportion n'est plus que de 18% dans l'après-guerre. Ce sont maintenant les Européens du Sud qui forment les contingents les plus importants: ils représentent 32% des étrangers qui s'installent au Québec entre 1946 et 1960, les italiens comptant à eux seuls pour plus de la moitié de ce groupe. Le visage du Québec, et en particulier celui de Montréal, est fortement transformé par cette vague d'immigration […]. Notons seulement, pour l'instant, que la proportion de Québécois nés à l'étranger passe de 5,6% en 1951 à 7,4% en 1961.
Ne voyant pas l'importance du phénomène et ne se sentant nullement concerné par l'intégration des immigrants, l'État québécois ne dispose d'aucune structure d'accueil officielle. Ce sont les communautés elles-mêmes qui se chargent de recevoir et d'aider les nouveaux venus. Les Juifs de Montréal, par exemple, ont des organismes communautaires et des associations bénévoles qui s'occupent de rapatrier les victimes du nazisme et de leur prêter main forte pour leur établissement au pays. Pour d'autres groupes, l'entraide repose souvent sur les réseaux de parenté ou sur les solidarités villageoises: parmi les immigrants italiens, par exemple, beaucoup viennent rejoindre des membres de leur famille ou de leur village d'origine déjà installés dans certains quartier de Montréal, et qui les aident à se trouver un logement ou un emploi et à s'habituer à leur nouvel environnement. Les divers communautés de Néo-Québécois ont aussi leurs paroisses nationales et leurs organisations.
Même s'ils ont tendance à vivre entre eux et à se regrouper dans certains quartiers de la métropole où ils conservent leur langue et leurs usages, les Néo-Québécois, de façon générale, choisissent de s'intégrer au groupe anglophone. Souvent mal informés de l'existence d'une majorité francophone au Québec avant leur départ pour le Canada, ils sont amenés, par leur désir de mobilité sociale et de réussite, à opter pour la langue la plus prestigieuse à leurs yeux, car elle est celle de la majorité du continent et du groupe qui, au Québec même, domine la vie économique. Pour les Italo-Montréalais, qui envoient leurs enfants dans les écoles catholiques, l'après-guerre marque à cet égard un net renversement d'attitude, la grande majorité choisissant maintenant l'instruction en anglais, contrairement à ce qui se passait jusque-là. Il faut dire, toutefois, que le système d'enseignement francophone se montre peu ouvert aux immigrants, et même carrément hostile aux non-catholiques, même s'ils sont de langue française.
3- De la loi 63, à loi 22, à la loi 101
Tome II, pp. 603-605
La crise éclate à Saint-Léonard, en banlieue de Montréal, où la minorité d'origine italienne envoie ses enfants dans des classes dites bilingues où près des trois quarts des cours sont donnés en anglais. En 1967, les commissaires d'école décident que les classes bilingues seront remplacées par des classes unilingues francophones. Des Italo-Québécois résistent à cette mesure et créent la Saint Leonard English Catholic Association of Parents. En retour, des francophones mettent dur pied le Mouvement pour l'intégration scolaire (MIS). La bataille se déroule sur plusieurs fronts à la fois: auprès du gouvernement, devant les tribunaux, dans les médias et même dans la rue. Une manifestation organisée à Saint-Léonard par le MIS, en 1969, tourne à l'émeute. Chaque groupe obtient des appuis de l'extérieur et le conflit prend une envergure nationale.
Dès les événements de Saint-Léonard , les enjeux sont posés. D'un côté, les tenants du libre choix veulent laisser tous les parents du Québec libres de choisir la langue d'enseignement de leurs enfants. De l'autre, les partisans de l'unilinguisme français veulent imposer l'école française à tous, bien que certains soient prêts à reconnaître des droits acquis à la minorité d'origine britannique. À la primauté des droits individuels s'oppose ainsi la primauté des droits collectifs. Les Italo-Québécois sont à la fois acteurs et enjeux de ce confilt. Ils défendent des positions qui leur sont propres, en choisissant l'anglais pour leurs enfants et en s'opposant à une attitude qui leur semble discriminatoire puisqu'elle leur imposerait un traitement différent de celui des Britanniques. En même temps, ils se trouvent impliqués dans un conflit qui n'est pas d'abord le leur: la lutte de pouvoir entre Canadiens anglais et Canadiens français. Les premiers les utilisent comme troupes de choc pour défendre leurs propres intérêts, alors que les seconds veulent les intégrer à l'univers francophone ou à tout le moins les empêcher de grossir les rangs des anglophones.
Après une première tentative en 1968, le gouvernement unioniste de Jean-Jacques Bertrand intervient en faisant adopter, en 1969, la loi 63 qui consacre le principe du libre choix tout en proposant des mesures incitatives pour promouvoir l'usage du français dans la société. Cette orientation est vivement contestée dans les milieux nationalistes francophones. Un Front du Québec français s'organise et mène une vigoureuse campagne d'opinion publique. À l'Assemblée nationale, quatre députés mènent la lutte au projet de loi 63, alors que dans les rues de nombreuses manifestations ont lieu. Cette agitation contribue à la défaite du gouvernement Bertrand.
Le nouveau premier ministre, Robert Bourassa, décide d'attendre, avant d'intervenir dans ce domaine, le rapport de la Commission d'enquête sur la situation de la langue française et sur les droits linguistiques au Québec, créée en 1968 par son prédécesseur, et présidée par le linguiste Jean-Denis Gendron. Le rapport n'est déposé qu'à la fin de 1972. La commission fait un grand nombre de recommandations sur plusieurs aspects de la question linguistique. La première donne le ton à l'ensemble: «Nous recommandons que le gouvernement du Québec se donne comme objectif général de faire du français la langue commune des Québécois, c'est-à-dire, une langue qui, étant connue de tous, puisse servir d'instrument de communication dans les situations de contact entre Québécois francophones et non francophones.» La commission s'intéresse particulièrement au monde du travail qu'il importe de franciser. Elle affirme que le gouvernement a tous les pouvoirs pour légiférer en matière de langue d'enseignement mais ne propose pas de politique à cet égard.
S'inspirant du rapport Gendron, le gouvernement Bourassa fait adopter en 1974 le projet de loi 22 qui consacre le français comme la langue officielle du Québec et qui veut lui assurer la primauté dans le monde du travail et dans plusieurs secteurs d'activité. Le libre choix de la langue d'enseignement est désormais limité: seuls les enfants pouvant témoigner, au moyen de tests, de leur connaissance de l'anglais auront accès à l'école anglaise. L'adoption de la loi 22 relance la bataille linguistique: les groupes nationalistes et indépendantistes lui reprochent d'accorder trop de privilèges à l'anglais et de ne pas affirmer suffisamment les droits du français, alors que de ce nombre anglophones l'attaquent pour les raisons inverses. Les tests linguistiques deviennent bientôt, aux yeux des anglophones et des allophones, le symbole de l'autoritarisme francophone et de l'inégalité de traitement dont ils se sentent victimes. Pour la deuxième fois, en 1976, la question linguistiques contribue à la défaite d'un gouvernement.
Arrivés au pouvoir, les péquistes de René Lévesque présentent à leur tour, en 1977, leur solution. La loi 101 va plus loin que la loi 22 dans l'affirmation de primauté du français au travail et sur la place publique. Elle restreint encore plus l'accès à l'école anglaise. Elle est surtout beaucoup plus contraignante que la précédente. Adoptée après un long et houleux débat à l'Assemblée nationale, la loi 101 jouit d'un solide appui dans l'opinion publique francophone. Elle est cependant combattue énergiquement par les dirigeants anglophones et allophones. Regroupés au sein de l'organisation Alliance Québec, ceux-ci choisissent de contester la loi devant les tribunaux et réussissent à en faire invalider plusieurs parties. Même si la question linguistique continue à susciter des débats, les données du problème ont changé car vers la fin des années 1970, les francophones sont plus solidement établis aux commandes de l'économie et de la société qu'ils ne l'étaient une décennie plus tôt.
Références
Histoire du Québec contemporain, tome I, De la Confédération à la crise (1867-1929), Linteau-Durocher-Robert, Boréal compact, Montréal, 1989, ISBN 2-89052-297-0
Histoire du Québec contemporain, tome II, Le Québec depuis 1930, Linteau-Durocher-Robert-Ricard, Boréal compact, Montréal, 1989, ISBN 2-89052-298-9
Rendez à César ce qui est à César
Ce billet est le premier volet du tryptique portant sur le nouveau testament. Deuxième volet, troisième volet.
Luc 20: 20-26
Le tribut à César
20 Ils se mirent à observer Jésus; et ils envoyèrent des gens qui feignaient d'être justes, pour lui tendre des pièges et saisir de lui quelque parole, afin de le livrer au magistrat et à l'autorité du gouverneur.
21 Ces gens lui posèrent cette question: Maître, nous savons que tu parles et enseignes droitement, et que tu ne regardes pas à l'apparence, mais que tu enseignes la voie de Dieu selon la vérité.
22 Nous est-il permis, ou non, de payer le tribut à César?
23 Jésus, apercevant leur ruse, leur répondit: Montrez-moi un denier.
24 De qui porte-t-il l'effigie et l'inscription? De César, répondirent-ils.
25 Alors il leur dit: Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu.
26 Ils ne purent rien reprendre dans ses paroles devant le peuple; mais, étonnés de sa réponse, ils gardèrent le silence.
Angry kid: stinky
Quelque part à la fin des années '90, à mes débuts en tant qu'internaute, j'ai découvert les courts métrages grâce à Atom films. Nous avons passé quelques après-midi à explorer le site et à nous familiariser avec ce concept auquel nous avions peu été exposé, le format de la télévision et du cinéma s'y prêtant peu.
Voici un film qui, à l'époque, nous avait bien fait rire. Il s'agit d'un épisode d'Angry Kid nommé Stinky finger.