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Les élections primaires américaines: showbizz à la SRC

La couverture des élections primaires des États-Unis à la radio de Radio-Canada est, selon moi, vraiment trop grande pour l'importance qu'elle a pour nous, Canadiens.

Nous n'avons aucune influence sur le résultat de la course aux primaires américaines.

Et si le but est vraiment d'informer les gens sur les enjeux de la future présidence de nos voisins du sud, il faudrait que la SRC ait au moins l'honnêteté d'accorder autant d'importance aux Républicains qu'aux Démocrates dans leur couverture.

De l'ONF à la révolution numérique

J'ai découvert Norman McLaren grâce à Claude Jutra et Il était une chaise. Suite à cette rencontre, j'ai écrit un billet sur 3 autres de ses films sur le blogue Hors des lieux communs:
* Les voisins;
* Lignes verticales
* Lignes horizontales.

Ses films sont tellement différents les uns des autres qu'il est difficile, voire impossible, de résumer son oeuvre avec quelques films représentatifs. Je termine donc avec ce billet ma série sur Norman McLaren. Si jamais un lecteur désirait continuer son exploration, je recommande les films suivant:
* Le merle (1958);
* Blinkity Blank (1955);
* Caprices en couleurs (musique par l'Oscar Peterson trio!, 1949).

Étudions le contexte qui a permis à une oeuvre comme celle de Norman McLaren d'être créée. Quelles sont les conditions nécessaires pour l'émergence d'une telle oeuvre? Qu'en est-il aujourd'hui de ces conditions? Ce sont ces 2 questions que j'explore ici.

Le contexte de création de Norman McLaren

Pour qu'il soit possible d'obtenir une oeuvre comme celle de McLaren, il faut tout d'abord un artisan de talent, sinon de génie. Dans ce cas-ci, il s'agit bien sûr de lui-même: Norman McLaren.

Dans un deuxième temps, il faut des conditions idéales pour créer. Arrivé à l'ONF en 1941, Norman McLaren a eu accès à ces conditions après la guerre, en 1945 (cf: cinema-quebecois.net). L'effort de guerre de l'ONF étant terminé, il se consacra alors à des projets personnels, le plus souvent dénués d'objectifs utilitaires. Il expérimenta à sa guise avec les outils de création qui étaient à sa disposition à l'ONF: caméra, pellicule, projecteurs, etc. Il n'était pas obligé de faire un film de 40 minutes pour la télévision avec des temps morts pour la publicité. Il pouvait créer des courts métrages de la durée qu'il jugeait la meilleur.

Il manque un dernier ingrédient, les collaborateurs. Ceux-ci provenait d'abord de l'ONF qui recrutait des créateurs et des techniciens talentueux. Puis, la réputation de Norman McLaren grandissant, ce sont les artisans qui l'ont contacté pour collaborer avec lui. C'est ce qui s'est produit lorsque Claude Jutra le contacta en 1959 pour la coréaliser Il était une chaise.

Le contexte de création à l'ère numérique

Quelles conditions constituant le contexte de création de Norman McLaren sont-elles aujourd'hui comblées grâce à la révolution numérique?

Le premier point abordé dans le cas de Norman McLaren était le talent. Ère numérique ou pas, il y a tout à penser que de par le vaste monde, il y a une foule de gens talentueux, des gens qui pourraient créer des oeuvres ayant un certain impact sur la société. Ce n'est certainement pas une ressource qui est disparue de la surface de la Terre, il y en a encore et il y en aura toujours. C'est en fait une condition indépendante du contexte matériel.

Le talent est une chose, avoir les moyens de créer en est une autre. Norman McLaren avait le contrôle sur les instruments de création. Il a d'ailleurs énormément expérimenté avec les limites des appareils. Aujourd'hui les appareils de production sont pour la plupart électroniques: caméra, appareil photo, microphone. En fonction du projet à effectuer, le créateur devra avoir accès à un plus ou moins grand nombre d'appareils numériques. Or, nous notons que, à performance égale, le coût des appareils numériques diminue constamment. Il est ainsi plus facile pour un les créateurs d'avoir accès aux appareils qui lui sont nécessaire, ceux-ci étant beaucoup plus communs qu'avant. Souvent, il les possède lui-même ou peut y avoir accès au près d'un ami.

Il faut aussi ajouter l'informatique: ordinateurs et logiciels. L'ordinateur, l'élément physique, entre dans la même logique de coût que les équipements électroniques. Quant aux logiciels, les 4 libertés nécessaires pour être qualifié de logiciel libre garantissent le contrôle du logiciel par l'usager. Il lui sera donc possible de faire ses expérimentations comme bon lui semble et non tel quel le vendeur aura bien voulu lui permettre. Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si l'énoncé de ces 4 libertés permet ces expérimentations: elles ont été rédigées explicitement à cette fin.

Les personnes, talentueuses ou non, ayant accès aux dispositifs nécessaires peuvent créer avec peu de contraintes de format. Elles ont bien sûr celles imposées par la limite de l'espace de stockage ainsi que celles imposées par le temps. Ceci dit, Norman McLaren avec des contraintes semblables. Donc, à moins d'avoir obtenu un financement extérieur ou d'effectuer un contrat, un individu pourra occuper sont temps libre à créer. La différence qu'il peut y avoir avec Norman McLaren, c'est que celui-ci travaillait à temps plein sur ses projets de film. Une personne occupant un emploi non relié à la création de film, la grande majorité des gens, aura probablement moins de temps à consacrer à cette création.

Il reste à aborder le dossier des collaborations. Bien sûr, les personnes faisant partie du cercle intime de nos créateurs sont susceptibles de devenir des collaborateurs. Ils connaissent le créateur, peuvent être sensibles au sujet et accepter de lui donner un coup de main. Mais, aujourd'hui, il est aussi possible d'ajouter internet comme source pour le recrutement. Que ce soit en se joignant à un groupe de créateurs, comme canal d'échange avec des individus ou encore pour avoir une vitrine présentant ses projets, internet permet souvent de trouver des collaborateurs. Ces collaborateurs auront certes une attitude et une disponibilité différentes de ceux qui sont directement payés pour aider le créateur, mais à partir du moment où quelqu'un se joint au projet, il n'est pas moins compétent ou moins motivé, au contraire.

Ce que l'on constate, c'est que la révolution numérique a fondamentalement changé les moyens nécessaires pour obtenir un contexte favorable à la création de films, particulièrement les courts métrages. Par exemple, il y a 20 ans, il aurait été impensable que j'aie pu, dans mes temps libres, créer un film avec les 1696 coups de foudre observés le 1 août 2006 à Montréal. Cette révolution permet aussi, en plus d'une diffusion sans précédent, une collaboration entre plusieurs individus ne s'étant jamais rencontrés et vivant dans des pays différents. Le court métrage Elephants Dream a été conçu de cette manière (regardez le making of du film). En plus, les créateurs de ce film ont profité du projet pour avancer le développement du logiciel à la base de leurs images: blender.

Il y a en ce moment une certaine résistance à cette transition de modèle de création. La résistance provient des milieux traditionnels de diffusion, notamment les chaînes de télévision qui sont habituées à un canevas très précis pour leurs émissions. Mais, il ne faut pas s'en faire, l'énergie créatrice humaine est trop forte pour pouvoir être longtemps contrainte par des intérêts commerciaux.

L'homme se définit et se construit par la culture, il ne saurait être question qu'une partie en soit détournée pour se mouler dans un cadre rigide. Nous pouvons dès aujourd'hui créer hors de l'ancien carcan. L'ère numérique est aux gens ordinaires ce que l'ONF a été pour Norman McLaren.

Embrassons cette réalité et explorons l'infini grandeur de la créativité!

Herb Alpert & The Tijuana Brass

Est-ce que Herb Alpert & The Tijuana Brass ça vous dit quelque chose? Non? Écoutez Spanish Flea, vous vous rendrez compte que vous avez déjà entendu ça, mais vous n'allez pas trop vous souvenir où exactement.

Je vais vous surprendre là, mais Herb Alpert était vraiment BIG dans les années 60. Il y a seulement trois artistes qui ont vendu plus de disques que lui durant cette décennie: Elvis Presley, Frank Sinatra et The Beatles. En 1966, il a même vendu 2 fois plus d'albums que The Beatles. C'est dire à quel point cette musique a mal vieilli, il est relativement inconnu de nos jours, surtout comparé aux Beatles.

Comment se fait-il qu'il soit tombé dans l'anonymat, tout relatif bien sûr, après avoir connu un si grand succès? Sont-ce les vieux qui écoutaient cette musique plutôt conventionnelle… Frank Sinatra me semble aussi tomber dans cette catégorie et pourtant on le connaît encore aujourd'hui. D'ailleurs, notre ami Herb n'est toujours pas décédé. Que fait-il de ses journées?

En tout cas. Je vous invite à découvrir la musique de Herb Albert & The Tijuana Brass et, comme exercice, à essayer de deviner quelle est la musique qui vend beaucoup aujourd'hui et qui ne traversera pas le temps. J'enlève tout de suite Crazy Frog comme choix de réponse, c'est trop facile.

Lonely Bull

Never on a Sunday

Etc.

Un grand merci à Wayne pour cette rencontre.

Université de Montréal et iTunes U: les détails techniques

Suite au lancement du service iTunes U de l'Université de Montréal en début d'année, je me suis posé des questions sur ce service, notamment sur les côtés techniques et les arguments qui ont conduit à ce choix. Les nouvelles couvrant ce sujet reprenant les mêmes 3 paragraphes (Bruno G, Branchez-vous!, itWorldCanada, etc.), j'ai contacté le soutien de ce service pour avoir réponses à mes interrogations. Je ne vous cacherai pas que j'étais aussi motivé par la question de l'accessibilité au contenu pour les gens qui n'ont pas la plateforme Mac ou Windows.

J'ai eu un entretien téléphonique avec Stéphane Boutin, conseiller pédagogique au Bureau de l'environnement numérique d'apprentissage (BENA) et chargé d’application pour le projet iTunes U. Voici un résumé de ce que j'ai appris pendant notre conversation.

Le projet de rendre disponible sur internet une partie du contenu pédagogique produit par l'Université de Montréal a démarré il y a environ 12 mois (début 2007). Pour que l'information soit le plus portable possible, les formats de fichier pouvant être utilisé sur une autre support électronique qu'un ordinateur personnel ont été ciblés, à savoir, les fichiers audios et vidéos. (Cf. Étude d'André H. Caron portant sur la question de l'utilisation de la baladodiffusion de contenus pédagogiques à l'Université de Montréal).

Une revue des moyens de diffusions existant sur le marché a alors été entreprise par l'Université de Montréal. Bien que des technologies libres aient été envisagées, leur choix s'est finalement porté sur iTunes U, car il y avait déjà des universités américaines qui avaient fait ce choix (Berkeley, Stanford, Penn State). L'Université de Montréal a pu consulter les rapports faits par quelques-unes de ces universités et a conclu que ces expériences étaient satisfaisantes.

Une des conditions dans leur choix a été la simplicité pour les utilisateurs. Il ne fallait pas que les utilisateurs aient à suivre une formation pour pouvoir user du service de diffusion. Les utilisateurs se divisent en 3 groupes: les administrateurs (Bureau de l’environnement numérique d’apprentissage, Bureau des communications et des relations publiques), les producteurs de contenus (enseignants, facultés/départements, unités de recherches) et les étudiants. Le service iTunes U répondait à cette condition de facilité d'utilisation.

Il y a 2 manières de rendre un fichier disponible sur iTunes U pour qu'il soit diffusé par leur service. Soit en le téléversant le fichier sur le serveur de Apple, soit en le téléversant sur son propre serveur et en envoyant le lien au service iTunes U. C'est la dernière option qui sera privilégiée par l'Université de Montréal, puisqu'elle permet de diffuser par la suite le contenu sur d'autres plateformes. Le contenu du service d'iTunes U de l'Université de Montréal peut être accédé par tout le monde ou encore seulement par un groupe restreint: étudiant de l'Université de Montréal ou d'un cours en particulier. Ce service est gratuit pour les établissements d'enseignements supérieurs et l'Université de Montréal ne reçoit pas d'argent pour avoir opté pour ce service.

Depuis son lancement, le service iTunes U a été plus populaire que prévu, ce qui fait que le personnel de l'Université de Montréal responsable de ce service (1 personne et 1 concepteur graphiste) accuse un certain retard sur l'échéancier, notamment au niveau du matériel de formation pour l'utilisation du service. Vu ce succès, ils sont en ce moment à la recherche d'autres partenaires à l'Université de Montréal pour la production de contenus et pour assurer le support du site.

Concernant la non disponibilité du contenu pour la plateforme GNU/Linux, un sondage à l'Université de Montréal montre que les systèmes d'exploitations les plus courants sont Windows et Mac OS. À court terme, l'Université de Montréal va explorer d'autres possibilités de diffusion, probablement par l'utilisation d'hyperliens standards, pour rendre le contenu disponible aux autres plateformes. Si vous croyez qu'il est important que le contenu de l'Université de Montréal soit disponible pour les autres plateforme que Windows et Mac, je vous invite à envoyer un courriel au service de iTunes U de l'Université de Montréal pour leur faire savoir.

Quant au message sur la page d'accueil du site iTunes U qui dit que « Ce site a été optimisé pour les fureteurs Microsoft Internet Explorer, version 6.0 et ultérieures, et Netscape, version 6.0 et ultérieures. », c'est un message générique pour les pages web de l'Université de Montréal. Les pages de l'Université de Montréal doivent être fonctionnelles au minimum pour ces 2 navigateurs, mais on m'assure que les pages du service iTunes U sont testées pour les autres navigateurs, dont Firefox j'imagine. Si le bouton « information légale » ne fonctionne pas, ce n'est pas parce que vous n'utilisez pas Internet Explorer, c'est parce qu'il n'y a pas encore de page disponible.

Pour plus de renseignement, je vous invite à consulter la FAQ de iTunes U à l'adresse:
http://www.cefes.umontreal.ca/tic_enseignement/faq_itu.htm.

La page d'accueil pour accéder à iTunes U de l'institution est :
http://itunesu.umontreal.ca/

L'immunité du taxi

Je ne sais pas pour vous, mais moi j'attache toujours ma ceinture de sécurité lorsque je prends place dans une automobile. Peu importe si je suis dans le siège du conducteur, du passager ou à l'arrière.

Toujours? Non, lorsque j'embarque dans un taxi, je ne m'attache jamais. Ça va au-delà de la simple paresse. Lorsque je suis passager dans une automobile et que je ne m'attache pas, je me sens mal, je me sens négligeant. À l'inverse, dans un taxi, si je mets ma ceinture de sécurité, je trouve que je fais du zèle.

Curieux n'est-ce pas? Et ce n'est certainement pas parce que les chauffeurs de taxi sont plus prudents que les autres conducteurs, que non!

Comment? Vous êtes tanné de lire et vous avez le goût de danser? Combinons donc ce billet avec vos envies, secouons le tout quelques instants… et dansons sur le résultat: Tijuana Taxi de Herb Alpert & the Tijuana Brass!

La fuite de la glace arctique

Il n'y a pas seulement l'augmentation de la température de l'air qui fait fondre la banquise arctique, les vents et les courants marins ont aussi un rôle à jouer. Moins bien compris, ils pourraient avoir une influence plus grande que prévue.

Voici un film tiré de l'article Variations in the Age of Arctic Sea-ice and Summer Sea-ice Extent de Ignatius G. Rigor. Il s'agit de la couverture de glace de l'océan arctique entre 1979 et 2007. La couleur représente l'âge de la glace, plus c'est blanc, plus la glace est vieille. Les points rouges représentent les trajectoires de bouées dérivantes.

On constate que la couverture de glace diminue énormément dans les dernières années. La fuite de glace dans le coin inférieur droit se situe entre le Groenland et Svalbard.

Au mois de septembre dernier (2007), la banquise arctique a atteint un niveau minimal record depuis que l'on a des données sur son étendu. Il ne faut pas être surpris si la disparition de la couverture atteint encore un nouveau record au mois de septembre prochain.

Plus d'info: ptafflist

Les images du premier lustre de ptaff.ca

C'était au Tap Room, jeudi soir le 24 janvier 2008.

Ambiance rouge au Tap Room

On pourrait croire que ptaff.ca ne rassemble que des jeunes hommes…

10 garçons autour d’une table

Mais les dames sont venues à la rescousse!

ptaff.ca et les dames

ptaff.ca, 5 ans de fierté.

ptaff.ca, les créateurs

Gil et TQS

Dimanche matin, je lis la chronique de Gil Courtemanche: Pour en finir avec TQS.

Sourire en coin et satisfaction.

Le Q des vieux

Je me souviens, lorsque j'étais un jeune Miguel, ma mère était très drôle lorsqu'elle épelait des mots avec la lettre « Q ». Elle ne disait pas « cul » ( [ky] en phonétique) pour prononcer cette lettre mais bien « que » ( [ke] ).

C'est que la prononciation de la lettre Q était considérée trop vulgaire. L'Église, à l'époque où ma mère apprenait à épeler les mots, avait la main mise sur le domaine de l'éducation (en grande partie grâce à Maurice Duplessis). Elle décida donc de renommer la lettre « cul » en « que » pour éviter d'entendre trop souvent ce mot impur. En France, les écoles bien-pensantes disait plutôt « qué » ([ké]).

Imaginez la puissance de l'Église au Québec, suffisament puissante pour renommer une lettre de l'alphabet! Ce nouveau nom restera jusqu'à la Révolution tranquille moment où l'Église sera forcée de relâcher son emprise sur l'éducation du peuple Québécois.

La lettre Q telle qu'on la connaît, nous les jeunes, a été baptisée de la sorte par Ramus (1515-1572). Il proposa aussi une réforme qui différenciait les lettres U et V ainsi que les 3 e: e, é, è. La lettre Q est toujours suivie de la lettre U dans la langue française, sauf pour 2 mots qui finissent par cette lettre: coq et cinq.

Sources:
* Le genre des lettres;
* Pierre de La Ramée (Ramus);
* Office québécois de la langue française, Banque de dépannage linguistique, Graphies du son [k];
* Discussion au téléphone avec maman, dimanche 20 janvier 2007, vers midi.

Le CSIA, les logiciels libres et la nouvelle loi canadienne sur le droit d'auteur

La Canadian Software Innovation Alliance (CSIA), est en ce moment à la recherche d'entreprises qui bénéficient des logiciels libres afin de joindre leurs rangs, entre autre pour soutenir leurs demandes au gouvernement canadien concernant la nouvelle loi sur le droit d'auteur.

Vous pouvez consulter leur livre blanc qui expose les impacts sur le logiciel libre de la nouvelle loi sur le droit d'auteur, en particulier en ce qui concerne la fameuse protection légale pour l'anti-contournement (anti-circumvention).

Si vous êtes intéressé, ou si vous connaissez quelqu'un qui pourrait l'être, à joindre le CSIA, vous n'avez qu'à les contacter. Ça ne coute rien et n'entraîne aucune obligation, sinon celle de les appuyer dans leurs revendications.

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